Sculptures

Mascarades des bois

(...) Dans la série des « Mascarades », Izumi porte un regard acéré sur la société et propose une réflexion sur le « masque social », le « paraître », les jeux de « faux-semblant » où chacun ne montre qu’une partie de sa personnalité. Cela nous renvoit à notre propre ambiguïté et au visage que nous voulons bien montrer aux autres. Izumi nous interpelle avec ses habitants des bois, métaphore des « prédateurs aux dents longues » de nos sociétés qui jouent parfois double jeu pour tromper leurs proies(...) Raphaëlle Giordano (Auteure de "Ta deuxième vie commence lorsque tu comprends que tu n'en as qu'une")

(…) In the Mascarades, a series of illustrations and then ceramics, Izumi brings a caustic regard to bear on society and proposes a dialogue on the “social mask”, “appearances”, the games of “pretence” in which each shows only a part of his or her personality. This confronts us with our own ambiguity and with the face that we are prepared to show to others. Behind these masks there always hovers a vague threat, like a shadow: what is really hiding there? Can we be trusting and show ourselves as we really are? Izumi challenges us with these inhabitants of the woods, metaphor for the “ambitious predators” of our societies who sometimes play a double game to fool their prey. Climate of anxiety, of insecurity? We never know what they are going to do to us!" Raphaëlle Giordano (Autor of "Ta deuxième vie commence lorsque tu comprends que tu n'en as qu'une")

Les trophées

Dans cette série de céramiques à suspendre, Izumi nous propose la transformation de ses mascarades en trophée. Le regard de l'autre est cette fois inévitable mis en hauteur face à nous. Un trophée est une marque de l'accomplissement d'une action particulière. Cette récompense symbolise l'acte d'avoir vaincu notre appréhension de l'autre, le pas a été fait, une rencontre, une discussion, un masque a été dévoilé, enfin un cap a été franchi et l'inconnu devient alors connu.